Manches longues, jambes longues, les couches textiles se superposent pour éviter que le froid ne parvienne jusqu’à l’épiderme transpirant.
Les couleurs ont encore changé en quelques jours : jaune, orange, rouille parent la végétation qui se prépare au sommeil hivernal. Ici, du vert persistant. Là, des arbres décharnés exposent aux climats changeants les squelettes de bois composés.
Alors que je pensais payer mon absence, c’est bien le contraire que j‘eus à découvrir durant ce tour : le foncier est en place, le gars est en forme.
Anecdote du tour (sous forme de message de type Radio Londres) : les moutons sont revenus de l’alpage, je répète...